038 - Formation, concours photo et relationnel pour développer son activité - Patrick Lombaert

 
patrick_lombaert_00.jpg
 

Patrick Lombaert fait depuis longtemps partie de la fine fleur des photographes de mariage Français, et est autant connu du milieu pour la qualité de ses images et la multitude d’awards qui vont avec, que pour son contact facile et sa propension à distiller de bons conseils ou à dire les choses de façon très cash quand c’est nécessaire.

Dans cet épisode, nous parlons :

  • de se mettre à nu,

  • de passer de la photo corporate à celle de mariage,

  • d’être cash,

  • de procrastination,

  • D’appuyer où ça fait mal,

  • de ne pas avoir à pencher la tête pour lire une image,

  • des concours photo et de dévaluer la monnaie,

  • de ne pas rester à hauteur d’oeil,

  • des faux-tographes faux-rmateurs,

  • des jolies colonies de vacances,

  • De Clubhouse,

  • De la grande époque des débats de Gérard sur Fun Radio,

  • Mais surtout, on parle de montrer son boule pour être connu, et apparement ça marche.

Bienvenue dans l'oeil de Patrick Lombaert.


A propos de l’invité: Patrick Lombaert

Site Web : Un petit coin de parapluie

Instagram - Facebook

 
 

Legos de l’épisode:

  • “La photo corporate, au bout de 6 ans, ça a eu comme conséquence que j’étais photographe par passion à la base et que c’était devenu alimentaire.”

  • "Je pense que c’est intéressant d’appuyer là où ça peut parfois faire mal, parce que ça donne aussi une visibilité qu’on a pas en se taisant.”

  • “J’ai toujours pensé qu’il fallait une cohérence totale dans ce qu’on est, dans ce qu’on fait et dans ce qu’on montre.”

  • “Tu n’as pas de problème de page blanche avec un appareil photo, tu as une action ou un sujet devant toi.”

  • (Pour notre génération) “souvent les inspirations sont de l’ordre de l’écran.”

  • “Je suis attiré par le graphisme: je vois plutôt les scènes d’un point de vue géométrique… par contre ce qui me fait déclencher ça va être le moment.”

  • “Les awards, c’est des pics hauts, c’est des images remarquées… mais ce n’est pas du tout révélateur du travail que je fournis.”

  • “Dès que je dois pencher ma tête pour lire une image, il y a un truc qui ne va pas.”

  • “Il y a des gens qui me disent “je ne sais pas si j’ai des images à concours”; si, c’est juste que tu ne sais pas lequel faire…”

  • "Quand je vois le nombre d'awards que tu peux gagner en termes de volume, c’est comme là, en temps de Covid, la planche à billets fonctionne de plus en plus, et donc tu dévalues la monnaie.”

  • “Quand j’ai commencé (les concours), je me suis dit… il y aura zéro mariés (à gagner) avec ces trucs là… Avant, je ne communiquais pas dessus, ça ne m’apportait rien… Le jour où j’ai mis une page award sur mon site, j’ai pas eu un seul rendez vous client sans qu’ils m’en parlent.”

  • Sur la photo des mariées sur l’avion en Islande: “Ca colle pas avec ce que je montre dans mon folio, mais par contre c’est une image qui attire l’oeil.”

  • “Il y a des reportages qui sont trop à hauteur d’oeil, et je suis convaincu que, quand des mariés me paient pour couvrir leur mariage, mon souci premier… c’est de justifier ma plus value professionnelle. Et un des moyens de justifier, c’est en montrant la journée d’un point de vue autre que celui de tonton Robert, et lui il ne pliera jamais ses genoux et ne tendra jamais ses mains en l’air.”

  • “Je les fais les images à hauteur d’oeil, mais ça va être mon safe shot, et après je vais aller chercher des angles différents, plus complets.”

  • “Il y a pas mal de gens qui t’expliquent comment en vivre alors qu’ils n’en vivent pas eux-mêmes.”

  • “J’ai commencé la formation et j’ai découvert un monde fou. Tu n’as pas du tout cette socialisation dans le monde corporate, et quand j’ai fait ma première formation immersive, j’ai découvert tout un tas de collègues qui ont envie d’échanger avec toi.”

  • "Comme j''ai consommé beaucoup de formations, j''ai rencontré beaucoup de collègues."

  • “Je me suis construit, en tant que photographe, bien sur grace à mes formateurs, mais aussi grace à mes co-workshoppeurs.”

  • “S’il y a quelque chose chez l’autre qui nous énerve, c’est que ça nous renvoie à une image désagréable de nous même.”

  • “Même si j’ai tendance à clasher, mes mots sont souvent assez réfléchis.”

  • “Ce sera plus simple de se spécialiser que de vouloir faire tout moyennement bien.”


Dans cet épisode, on parle de:

  • Ces photos:

  • Le live des médailles de la photographie Professionnelle Française de la FFPMI (la scène dont on parle dans l’épisode est autour de 1h30):


A propos du Podcast:

Hôte: Julien Pasternak - Instagram - LinkedIn - Clubhouse

Laissez une évaluation sur Apple Podcasts (en bas de page dans l’application iOS ou MacOS)

Rejoignez la page DLODP sur Facebook - Abonnez vous à la Newsletter

Générique d'intro: Joakim Karud (https://soundcloud.com/joakimkarud) 

Générique de fin: Dyalla Swain (http://soundcloud.com/dyallas)

Précédent
Précédent

039 - Une photo doit avant tout être lisible - Vincent Lyky

Suivant
Suivant

037 - Du Social Club au PSG - Romain Bourven