106 - Le talent n’existe pas vraiment, c’est la pratique, la pratique, la pratique - Romain de Sigalas

 
 

La curiosité n’est pas un vilain défaut, bien au contraire. C’est en tout cas l’avis de mon invité qui est avant tout poussé par son envie de contact, d’échanges avec les autres, et sa soif de découvertes à toute épreuve.

Aujourd’hui, nous allons écouter l’histoire de quelqu’un qui s’intéresse à tout, qui avance, qui se préoccupe davantage du chemin que de la destination, et de la joie que le chemin lui apporte plutôt que de sa rentabilité. Quelqu’un qui pratique en premier lieu, parce que la pratique, c’est l’endroit où se fabrique le talent.

Bienvenue dans l'oeil de Romain de Sigalas.


A propos de l’invité:

Site Web

 
 
 
 

Legos de l’épisode:

  • C’est important d’être dans l’anticipation… il faut sentir le mouvement est l’appréhender pour pouvoir shooter au bon moment.

  • Photographe, il faut voir différentes choses, être curieux.

  • Le métier de photographe, c’est de l’échange.

  • Etre créatif, c’est faire, c’est essayer de faire différemment.

  • Pour voir différemment, il faut voir différentes choses, et les digérer.

  • Une bonne photo… il n’y a pas de règle, et heureusement.

  • Il n’y a pas de recette, c’est d’abord la pratique.

  • Comment on voit des choses? C’est d’être dans l’instant présent. Et être dans l’instant présent, c’est d’avoir tous ses sens en éveil.

  • Le résultat n’est pas important, ce qui est important, c’est le chemin, et se faire plaisir dans le fait d’être dehors.

  • La photographie de rue, c’est vraiment un moment pour toi qui doit le rester.

  • C’est des moments où tu as pas forcément une grande rentabilité, amis je suis convaincu qu’à long terme, ça t’apporte quelque chose.

  • Il faut faire abstraction de la pression économique, financière d’une société de consommation où il faut rentabiliser ce que nous on fait. Ben non, c’est pas grave de pas rentabiliser ce qu’on fait.

  • On ne voit pas, derrière, tous les ratés qu’il y a.

  • Le talent n’existe pas vraiment, c’est la pratique, la pratique, la pratique.

  • Il ne faut pas chercher les meilleures conditions, sinon je ne le ferai jamais.

  • Développer mon regard, c’est regarder aussi mon environnement.

  • Le portrait, c’est à toi d’apporter l’énergie.

  • Si le portrait ne fonctionne pas, c’est uniquement de ma faute.

  • Ce qui m’intéresse, c’est de voir le réel… pas juste ce qu’on me donne à voir.

  • Moi j’aime la solitude, j’ai besoin de solitude, et je trouve que c’est positif d’être un moment seul, pour se recentrer et ne pas être trop influencé par le bruit extérieur.

  • Il faut se faire confiance, et se faire confiance, ça passe par ce coté intuitif.

  • Il faut toujours chercher, c’est ça qui est stimulant. Pas s’arrêter à un angle ou un plan. Essayer des choses différentes.

  • Il faut un peu se relâcher, prendre le temps, et plus tu vois les choses, plus tu vois des choses qui vont arriver. Plus tu avances, plus les choses arrivent.

  • C’est réfléchi dans le sens que je dois anticiper, mais quand ça se passe, ç a se passe tellement vite qu’il faut être là.

  • En tant que photographe, on a besoin d’être valorisé, et montrer son travail, c’est une chance.

Dans cet épisode, on parle de:


A propos du Podcast:

Hôte: Julien Pasternak - Instagram - LinkedIn - Clubhouse

Laissez une évaluation sur Apple Podcasts (en bas de page dans l’application iOS ou MacOS)

Rejoignez la page DLODP sur Facebook - Abonnez vous à la Newsletter

Générique d'intro: Joakim Karud (https://soundcloud.com/joakimkarud) 

Générique de fin: Dyalla Swain (http://soundcloud.com/dyallas)

 
Précédent
Précédent

107 - Je ne voudrais pas qu’on me prenne pour un appareil photo - Gaëlle Caré

Suivant
Suivant

105 - Le seul moyen d'échouer vraiment, c'est de ne pas faire - Genaro Bardy